- Titre : Un bon écrivain est un écrivain mort
- Année : 2016
- Auteur : Guillaume Chérel
- Editeur : Mirobole Editions
- Résumé : Les plus grands écrivains français ou au moins les plus médiatiques sont conviés pour un week-end dans un ancien monastère des Alpes-Maritimes. Sur place rien ne se passe comme prévu et la situation dérape sérieusement.
- Mon humble avis : Le début de ce roman est une véritable réussite, les portraits de nos illustres auteurs contemporains sont décapants et particulièrement jouissif ( surtout celui de Frederic Beigbeder alias Frédéric Belvédère) .Chacun en prend pour son grade et c’est parfois drôle et corrosif mais aussi souvent redondant et potache. C’est après que ça se gâte… L’intrigue qui ne sert que de faire-valoir à ce jeu de massacre et la deuxième partie s’étire laborieusement jusqu’à sa conclusion qu’on accueuille avec félicité. Un roman qui se lit aussi vite qu’il sera oublié, à mon avis.
- J’achète : non je ne le recommanderais pas malgré l’enthousiasme de Gérard Collard .